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« La politique municipale au Québec a pris un virage « apolitique » inquiétant, avancent des chercheurs dans un livre qui vient de paraître sur les élections de 2009 dans les grandes villes.
Codirigé par Laurence Bherer et Sandra Breux, toutes deux chercheuses en études urbaines à l’Université de Montréal, l’ouvrage fait état du « dénigrement des partis politiques municipaux par les candidats » et du « refus de faire campagne au profit de stratégies politiques axées sur des personnalités fortes ». […]
Ce virage à l’américaine est d’autant plus étonnant que les élections municipales à date fixe et la création des grandes villes fusionnées auraient dû avoir un « effet positif sur le taux de participation », « favoriser un plus large débat » et « la mise au programme d’enjeux plus substantiels », note le professeur de l’INRS Jean-Pierre Collin dans la conclusion du livre. »
Lire l’article complet sur LeDevoir.com.
Le monde municipal est-il «apolitique»?
Le Devoir
Vendredi, 18 novembre, p. A1
Journaliste: Isabelle Porter