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Santé Canada tarde inexplicablement à réglementer la vente de drogues légales. Extrêmement nocives, causant des intoxications que même le personnel médical ne sait parfois comment traiter, ces substances vendues sous la forme de comprimés sont peu coûteuses et faciles à trouver sur Internet.
Le Journal de Québec rapportait ces faits dans son édition du 15 mars 2012 : « Combinés ensemble, le BZP et le 3TFMPP constituent un stimulant du système nerveux qui s’apparente aux effets provoqués par l’ecstasy. Livré sous forme de comprimés, le produit final est interdit dans plusieurs pays à travers le monde, mais pas au Canada. »
Directrice du Laboratoire de contrôle du dopage, la seule infrastructure du genre canadienne reconnue par l’Agence mondiale antidopage, Christiane Ayotte, n’a pas mâché ses mots quand la journaliste lui a demandé son avis : « C’est pathétique. Qu’est-ce qu’ils [Santé Canada] attendent? Le problème qu’on a avec ces stimulants-là, c’est qu’il y en a plusieurs. Il y en a pour le milieu du sport, pour les partys. Ça met la santé des jeunes à risque. » Madame Ayotte ne comprend pas l’absence de réaction de Santé Canada devant ce problème très inquiétant.
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Journaliste : Kathryne Lamontagne
Média : Le Journal de Québec
Parution : 15 mars 2012