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« En tant chercheurs spécialistes du domaine de l’eau au Québec, c’est avec consternation et une profonde déception que nous avons appris que le gouvernement du Québec allait permettre la reconstruction en zone inondable dans les secteurs touchés par les récentes inondations le long de la rivière Richelieu. »
« Bien que nous comprenions le désir des citoyens dont les maisons ont été inondées de vouloir retourner “ chez eux ”, nous jugeons que cette décision transgresse la politique de protection des rives, du littoral et des plaines inondables mise en place par le gouvernement du Québec lui-même. Elle contrevient carrément aux principes de gestion durable des milieux riverains et va à l’encontre des politiques développées dans le reste du Canada, dans plusieurs États américains ainsi qu’en Europe. Enfin, elle fait fi de la science sur les changements climatiques qui prévoit un fort risque d’accroissement des événements extrêmes, et de la nécessité de développer des stratégies d’adaptation pour le XXIe siècle. »
Ainsi s’exprime un collectif de chercheurs en sciences de l’eau dans une lettre publiée samedi dans Le Devoir et aujourd’hui dans Cyberpresse.ca dans le but de faire part au gouvernement du Québec de leur désapprobation quant à sa décision de permettre la reconstruction en zone inondable de la rivière Richelieu.
Deux chercheurs du Centre Eau Terre Environnement font partie du collectif : Normand Bergeron et André Saint-Hilaire.
Lire les articles complets sur Cyberpresse.ca et Le Devoir.
Photo : Eric Ventress