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Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a beau avoir promis à ses contribuables que la vente des activités internationales de la compagnie SVLS, qui possède les fameux vélos libre-service bien connus sous la marque de commerce BIXI, ne leur coûtera pas un sou, on s’interroge sur les impacts qu’aura cette transaction sur les éventuels acquéreurs.
« La SVLS a exporté le concept du BIXI dans différentes villes du monde, tantôt en partenariat avec d’autres entreprises comme à Londres et à Washington, tantôt en lançant son propre service comme à Toronto. L’an dernier, ces activités internationales ont généré des ventes de 47,5 millions et un bénéfice de 8,5 millions. Cette performance a permis à la société d’éponger une perte de 7 millions dans le service de vélo-partage à Montréal.
[…]
La clause permettra de maintenir le programme à Montréal à coût nul pour la Ville. Mais elle risque d’effrayer bon nombre d’acheteurs potentiels, soutient Pierre J. Hamel, chercheur en finances publiques à l’Institut national de (sic) recherche scientifique (INRS). »
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BIXI : l’acheteur éventuel devra éponger les pertes
La Presse Affaires, 23 juin 2011
Journaliste : Martin Croteau