- COVID-19
- Intranets
- Nouvelles
- Nous joindre
-
Liens rapides
- Emplois
- Mesures d'urgence
- Guides et documentation
- Ressources
- Portails numériques
- Communauté
- Médias
-
Les Études
Nous formons la relève en recherche, capable d'innovation scientifique, sociale et technologique.
-
La Recherche
Nous trouvons des solutions par la recherche interdisciplinaire, en collaboration avec nos partenaires.
-
L'INRS
Nous contribuons au développement économique, social et culturel du Québec.
« Le nombre d’emplois dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la fonction publique qui utilisent principalement l’anglais est disproportionné par rapport au poids démographique de la population anglophone du Québec.
Selon une étude sur la langue de travail dans les services publics, publiée lundi par l’Institut de recherche sur le français en Amérique (IRFA), les emplois qui requièrent l’utilisation de l’anglais comptent pour 13,9% des emplois offerts au Québec. Pourtant, le poids démographique des anglophones dans la Belle province n’est que de 8,7%.
« Les secteurs de la santé, de l’éducation et de la fonction publique sont intéressants à étudier puisque, dans une large mesure, les gouvernements y contrôlent la langue de travail, a soutenu Patrick Sabourin, président de l’IRFA et étudiant au doctorat en démographie au centre Urbanisation, culture et société [sic] de l’Institut national de la recherche scientifique. Il est répandu de blâmer les effets anglicisants de la mondialisation et du commerce international, mais les secteurs publics en sont essentiellement à l’abri! » »
Lire la suite de l’article sur Métro Montréal, lundi 7 novembre 2011 (version imprimée: 8 novembre).
Les francophones désavantagés dans les secteurs publics
Métro Montréal
Mardi, 8 novembre 2011, p. 4
Journaliste : Jennifer Guthrie