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Les chercheurs du groupe ArcticNet, un consortium institutionnel pancanadien de recherche en milieu polaire arctique, devront composer avec les bris mécaniques de l’Amundsen. Ce navire de la Garde côtière canadienne est immobilisé déjà depuis plusieurs semaines et devra être mis en cale sèche pour le reste de l’année puisque quatre de ses six moteurs doivent être remplacés.
Ces travaux majeurs devraient empêcher l’Amundsen, un brise-glace transformé en bateau de recherche, de prendre la mer pendant près d’un an.
Ce délai complique la tâche du groupe ArcticNet, qui planifiait l’utilisation du navire pendant près de 80 jours cet été, pour une autre mission scientifique dans l’Arctique.
« C’est un coup dur pour les scientifiques, dit Yves Gratton, professeur-chercheur à l’Institut national de la recherche scientifique, à Québec, qui travaille sur l’Amundsen depuis 2002. C’est majeur parce que les travaux de recherche de ce genre coûtent des millions à chaque année et c’est notre seul moyen d’aller dans l’Arctique pour effectuer nos prélèvements ».
Le groupe a investi 30 millions de dollars pour les équipements scientifiques de l’Amundsen.
L’Amundsen est réservé pendant la moitié de l’année à l’usage exclusif du milieu scientifique canadien, plus précisément du consortium de recherche sur l’Arctique. Pendant le reste de l’année, il fait partie des activités courantes de la Garde côtière.
Sources
Amundsen icebreaker dry-docked for the year (CBC North)
Le brise-glace Amundsen immobilisé à Trois-Rivières (Radio-Canada, Québec)