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Les citoyens qui habitent les zones inondées, sans repos, voient maintenant surgir le spectre de la contamination. Les champs d’épuration, couverts d’eau, risquent de contaminer les puits de résidences.
Le ruissellement des eaux de surface n’apporte pas, lui non plus, de bonnes nouvelles. Des contaminants et des éléments comme le phosphore, présents dans les sols, sont acheminés vers les sources d’approvisionnement en eau potable. En conséquence, il pourrait y avoir une prolifération de cyanobactéries, mieux connues sous le nom d’algues bleues.
«S’il y avait de fortes chaleurs, ce serait problématique», explique Alain N. Rousseau, professeur à l’Institut national de recherche scientifique. D’après lui, les hausses de température prévues pour les prochains jours sont sans risque, les vastes étendues d’eau ne risquant pas de se réchauffer rapidement.
Par ailleurs, M. Rousseau fait confiance aux autorités. «Je ne crois pas que la Sécurité publique va mal gérer la situation. Je crois qu’elle va bien informer la population.»
6 mai 2011