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« C’est au moment où les chiffres du chômage ne cessent de grimper que la question du sens du travail revient avec force dans le débat français. S’exprime désormais de plus en plus nettement l’idée que le travail a été le grand oublié des trente dernières années. […]
Une enquête récente, dont Daniel Mercure et Mircea Vultur viennent de rendre compte dans La Signification du travail (Presses universitaires de Laval, 2010), montre le déploiement de ces mêmes attentes en termes d’expression de soi et d’épanouissement à l’égard du travail au Québec, qui leur font dire que désormais le « type » majoritaire parmi les travailleurs est « l’égotéliste » : « Il érige le moi en valeur suprême, entretient des liens d’appartenance ténus avec les collectifs de travail, tout en ayant une conception expérientielle du travail et une forte implication subjective dans l’activité productive ; il fait sien le principe d’être l’entrepreneur de lui-même et de son avenir professionnel ». MM. Mercure et Vultur défendent l’idée que cette volonté de se réaliser, à l’oeuvre dans les sphères de vie depuis les années 1970, est en phase avec les souhaits et les évolutions du système socioproductif, qui réclame plus de flexibilité et d’investissement des travailleurs. »
Lire l’article complet dans LeMonde.fr.
Comment s’épanouir au travail?
Le Monde
Lundi, 21 novembre 2011 [édition imprimée : 22 novembre]
Auteur: Dominique Méda
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Photo © Christian Fleury