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L’amélioration de l’aquaresponsabilité de la Ville de Québec passera par une meilleure adaptation aux changements climatiques, la promotion d’habitudes de consommation plus responsables et la maîtrise de la qualité de son eau.
Ces trois axes mis en lumière par le rapport préliminaire de l’Institut international de l’aquaresponsabilité municipale (IIAM), chapeauté conjointement par l’Institut national de la recherche scientifique et l’Université Laval, permettront à la Ville de Québec d’améliorer sa performance et son efficience en matière de gestion de sa ressource en eau.
Ce projet-pilote de l’IIAM dans lequel la Ville de Québec a investi 100 000 $ devait évaluer 17 points, notamment le transport des eaux usées ou la gestion des eaux pluviales.
À la suite de ces recommandations, la mise en application d’une méthode de calcul plus systématique quant à la perte d’eau potable est à l’ordre du jour. En effet, bien que les modifications apportées en 2007 aient permis de réduire de 10 % la proportion d’eau perdue dans les tuyaux, les fuites de la Ville sont de l21 % à 22 %.
« C’est un bon bilan, a dit le maire. Mais malheureusement, ce n’est pas très, très précis en termes de calcul. Il faut se trouver des méthodes adéquates. »
Source
Gaudreau, Valérie (19 juin 2012) Aquaresponsabilité: Québec doit améliorer trois points. Le Soleil. (Cyberpresse.ca)
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Hardy, Dominique (26 juin 2012) Québec veut servir de modèle aquaresponsable. Le Soleil.
Cliche, Jean-François (28 juin 2012) L’Alliance des villes des Grands Lacs et du Saint-Laurent revendique le « carré bleu ». Le Soleil