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Le dossier de l’échéancier du nouvel amphithéâtre de Québec continue d’alimenter le débat. Des voies s’ajoutent pour réclamer un ralentissement de la cadence.
En entrevue à Radio-Canada, le professeur-chercheur Guy Mercier du Centre Eau Terre Environnement de l’INRS, spécialiste de la décontamination des sols, explique que sans la date butoir du 31 mars, la Ville de Québec pourrait entreprendre une analyse rigoureuse de la décontamination du site choisi pour la construction de l’amphithéâtre. Une telle analyse en collaboration avec le ministère de l’Environnement prendrait plusieurs mois, mais permettrait de décontaminer plus efficacement.
« Ça peut faire la différence entre dépenser 40 millions, comme il a été dit, ou en dépenser 25 millions », dit-il.
Lire l’article et regarder le reportage : Amphithéâtre : la décontamination du site pourrait coûter moins cher
Journaliste : Olivier Lemieux
Média : Radio-Canada
Parution : 28 février 2012