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L’INRS, une université branchée sur le monde

16 février 2015

Mise à jour : 10 novembre 2020


L’INRS s’impose comme un acteur important du développement de la recherche à l’international.  Très actif au sein de partenariats stratégiques et de réseaux de grandes infrastructures, l’INRS se positionne avantageusement ici et ailleurs dans le monde. Grandissante, la notoriété de l’INRS dépasse les frontières du Québec dans ses champs d’expertise.

 

Dans un article paru récemment dans Le Devoir, le recteur de l’INRS, monsieur Daniel Coderre, souligne les efforts consentis ces dernières années pour mettre en place et consolider des partenariats à l’échelle internationale. Plus de 50 ententes de collaboration internationale ont été conclues avec près de 80 établissements universitaires provenant d’une quinzaine de pays européens, asiatiques, africains et d’Amérique latine.

 

L’approche privilégiée : des ententes bidirectionnelles de qualité favorisant la recherche et la mobilité étudiante dans les deux sens. Selon le recteur de l’INRS, une telle approche est essentielle non seulement pour relever les grands défis sociaux et économiques actuels, mais aussi pour contribuer concrètement au développement des pays émergents. C’est pourquoi l’INRS œuvre à renforcer les partenariats Nord-Sud et Sud-Sud : la création de la Chaire de l’UNESCO sur les matériaux et les technologies pour la conversion, l’économie et le stockage de l’énergie (MATECSS) est un bel exemple en ce sens.

 

Quelques points clés:

  • L’INRS arrive au 5e rang des universités canadiennes de sa catégorie pour les collaborations de recherche à l’international selon les données de Re$earch Infosource.
  • L’INRS est la première et unique université canadienne accueillie membre de l’Université internationale de Venise.
  • Le Réseau international des Instituts Pasteur compte une seule université nord-américaine parmi ses membres : l’INRS.
  • Les équipes de recherche de l’INRS participent à des réseaux scientifiques internationaux : nanotechnologie, technologies et applications des plasmas, pharmacologie des peptides…
  • L’INRS offre des programmes de cotutelle de thèse conduisant à la bidiplomation avec la France, l’Italie et le Maroc.
  • 47 % des étudiants à la maîtrise et au doctorat proviennent de l’étranger, alors que la moyenne canadienne se situe autour de 28 %, selon le rapport Les universités canadiennes dans le monde : Enquête de l’AUCC sur l’internationalisation. ♦