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Éliminer les obstacles et garantir l’égalité en STIM

4 février 2021 | Sophie Laberge

Mise à jour : 4 février 2021

Le 11 février aura lieu la Journée internationale des femmes et des filles de sciences. Cette journée repose sur un constat de l’Institut de statistique de l’UNESCO : en 2015, moins de 30 % des chercheurs dans le monde étaient des femmes.

Afin de souligner cette journée et d’inaugurer son volet québécois, la Society for Canadian Women in Science and Technology (SCWIST) organise un forum intitulé « Bris des stéréotypes : persévérance et parage des inégalités ». La professeure au Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’INRS, Maritza Jaramillo est la leader du volet québécois de la SCWIST.

Les sujets abordés incluent des perspectives et des expériences personnelles des panélistes en tant que femmes professionnelles, dans leurs domaines respectifs, ainsi que leurs suggestions sur la façon dont la société canadienne peut rendre les domaines des STIM plus équitables. À la suite de la discussion, la SCWIST propose une période de discussion avec le public. Cet événement est conçu pour rassembler des femmes scientifiques éminentes et des membres du public aspirants ou actuels des STIM, pour un apprentissage et une inspiration mutuels. Toutes et tous sont les bienvenus à rendre hommage aux femmes en STIM.

Les panélistes sont les professeures du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’INRS Christiane Ayotte et Angela Pearson, la professeure Ève Langelier (Université de Sherbrooke) et Laurie Rousseau-Nepton (Première femme autochtone du Québec à obtenir un doctorat en astrophysique, et chercheuse principale du projet SIGNALS à Hawaï).

Quand : le jeudi 11 février prochain, de 18 h à 20 h (HE)

L’inscription est gratuite.

Seront également présentes les autres membres fondatrices du volet québécois de la SCWIST : Kayla Vecera, étudiante en génie aérospatial (Université Concordia) et médiatrice de l’événement, Irina Kostko, détentrice d’un doctorat en physique et avocate de propriété intellectuelle, et Maria Athanassiou, étudiante au doctorat en sciences biomédicales et psychiatrie (Université de Montréal).