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Des niches d’excellence francophones entre l’INRS et l’Université de Moncton

31 août 2018 | Stéphanie Bernard

Mise à jour : 9 octobre 2020

Partageant de nombreux domaines d’expertise, l’INRS et l’Université de Moncton ont signé un protocole d’entente à Québec afin de stimuler les collaborations entre les deux établissements. Il s’agit d’un premier pas dans le développement d’une relation privilégiée qui permettra la codirection d’étudiants aux cycles supérieurs et, éventuellement, la mise en œuvre d’un programme d’études bidiplômant.

De gauche à droite : M. Philippe-Edwin Bélanger, directeur du Service des études supérieures de l'INRS; M. André Samson, vice-recteur à l'enseignement et à la recherche de l'Université de Moncton; et M. Stéphane Roche, directeur de la recherche et des affaires académiques de l'INRS
De gauche à droite : M. Philippe-Edwin Bélanger, directeur du Service des études supérieures de l’INRS; M. André Samson, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche de l’Université de Moncton; et M. Stéphane Roche, directeur de la recherche et des affaires académiques de l’INRS    

À l’extérieur du Québec, l’Université de Moncton est la plus grande université francophone canadienne, ce qui constitue un pont culturel important. « Malgré la course aux collaborations internationales, il est primordial de nourrir les relations avec les autres universités canadiennes », affirme Stéphane Roche, directeur de la recherche et des affaires académiques de l’INRS.   

« L’Université de Moncton et l’INRS ont tous deux cultivé une grande expertise dans la science des matériaux et dans la recherche sur le cancer, pour ne citer que ces exemples. Ce sont autant de points de départ pour développer des niches d’excellence francophones en enseignement et en recherche, dans lesquelles les étudiantes et étudiants pourront développer de nouvelles compétences dans un contexte culturel riche », renchérit Philippe-Edwin Bélanger, directeur du Service des études supérieures et postdoctorales de l’INRS.